Tout a commencé avec l’arrivé des chaleurs, que nous connaissons actuellement dans le Morbihan. Il y a trois semaines pour la première fois, je les ai vu, par petit groupe de deux ou trois ou parfois en solidaire mais cela ne durais que quelques secondes. J’avoue que je ne penser pas qu’un rotengle pouvait atteindre de telle proportion. La plupart du temps ces gros pépères nagent tranquillement sans ce soucié de rien. Jusqu’à la semaine dernière, j’avais eu que très peu d’occasion de présenter un petit gammare flashy devant leurs gueules. Les rares fois se sont toutes soldés par des échecs et j’avoue que ces dans ces périodes que j’aime le plus, la pêche à la mouche! Lorsque le poisson est difficile et qu’il faut chercher, se remettre en question. De plus, il faut une parfaite luminosité sans un poil de vent, pour espérer voire une ombre au couleur rougeâtre passé. Les libellules qui osent frôler de trop prés les herbes se font attaquer mais je ne sais pas si c’est par réflexe ou un comportement alimentaire, j’ai même cru a un moment à des black Bass. Aujourd’hui je me suis un peu plus rapproché de ces poissons, mais je suis encore loin. Carrément a l’ouest même, car ils sont beaucoup plus gros que celui de la photo. En traquant ces gros rotengles, on a pas le droit a l’erreur c’est aussi méfiant qu’une truite et aussi passionnant. D’abord car c’est une pêche visuel ou l’on repère le poisson, après il faut attendre le bon moment pour lancer et prier pour qu’un nuage ne vienne pas assombrir l’eau. De plus il faut pêcher fin descendre en 12, sinon c’est le refus à chaque fois. Aprés il faut sans cesse chercher, basculer la tête pour avoir le moindre reflet possible. J’ai essayé avec des sedge, des Kiro, des nymphes mais il semble que sur ces des gammares en spectral que j’arrive à avoir le plus de touches et attirés l’attention de ces poissons. A la pêche il y a souvent un truc que l’on ne contrôle pas, cet après midi c’était ce petit rotengle que je ramener tranquillement au bord. L’agitation de la surface a fait sortir un petit brochet et à voulu attaquer le petit cyprinidé, après la remise a l’eau un peu plus loin du poisson blanc pour ne pas éveiller la méfiance du prédateur. J’ai changé de pointe en passant en 16 centièmes, j’enfile the muletor blanc, mélanger a du spertra, anime gentiment. Le brochet sort de son herbe est arrive doucement, j’arrête, il s’arrette. J’accélère, il redémarre et aspire l’imitation en ouvrant la gueule, je ferre, le spectacle est grandiose. Plus tard il se laissera photographier dans l’eau. Et comme parfois la pêche c’est vraiment un truc de dingue, dans la soirée j’attaque a trois reprise un groupe de tanche, sans succès. Posté la derrière cette amas de branche Je suis passé à deux doigts de la réussite car ces lingots d’or tournés autour sans cesse, comme si quelques choses n’allaient pas. J’ai pu voire leurs grosses lèvres et pour finir cette fois ci la rencontre avec un serpent ce fera en plein milieu de l’étang. Demain sera un autre jour, une autre histoire……au bord de l’étang A + Fabien