Empêché d’allé faire le coup du soir sur la belle par des contraintes familiales, je me suis rabattu sur la Vézère en bas de chez moi avec le secret espoir de toucher des barbeaux. Grâce à l’expérience de mon « guide » local enfant du pays, ce ne fut pas bien difficile car il connait le coin comme sa poche. La veine d’eau prospectée bien que mise à mal par l’étiage qui se prononce un peu plus chaque jour nous livrera un gardon, un cheucheu et des barbeaux. J’en toucherai pour ma part 4 pas bien gros mais qui avaient clairement pris la mouche au point que le dégorgeoir s’avéra une fois nécessaire. Après les espagnols, je suis ravi d’avoir enfin touché des moustachus bien de chez nous. Fred