Fêlé que je suis, je décide vendredi dernier de descendre 2 jours à briançon, pour un parisien çà fait loin. Grand soleil, eau très froide, et pêche de la clarée le samedi et la guisane le dimanche. Je râterai 4 truites dont une jolie le 1er jour, les réflexes et la dexterité, s’ils ont existé, ont disparu pendant cette si longue fermeture. Le lendemain, toujours en nymphe, je rencontre en plein wadding un habitué de gobages.com, un marseillais des plus sympathiques. Sa bredouille me rassure, il n’y a pas que ma technique qui est en cause. Il sauvera l’honneur grâce un monstre de probablement 12cm…. J’en ferai de même un peu plus tard… mais quelle tristesse ! Micro mais très jolie robe, que je ne connaissais pas. Sur ces conseils, je monte au Casset, le vent se lève violemment, le parcours est très encombré, j’abandonne. Je croise au retour un local pechant à la longue canne avec un « mille-pattes » au bout de l’hameçon. Il me montre une jolie truite et me confie en avoir offert 2 autres à des touristes. Je le crois. Nuit sncf difficile dans le Briançon-Paris… tant pis !