Après 600m de dénivelé, je suis content de retrouver ce joli lac et surtout de constater que les gobages sont nombreux à crever sa surface. Les débuts sont difficiles et je peine à trouver la bonne mouche. Ce sont des chironomes émergents qui intéressent les fario, mais je passe plus de temps à sécher mes cul de canard pris par les dizaines de truitelles gobant devant moi qu’à pêcher. Finalement se sera une petite araignée noir qui me permettra de toucher de jolies truites, énergiques et dodues. Je les reverrai l’année prochaine, quand tard dans la saison la fonte de la glace leur permettra de se refaire une santé.