Cette sortie aurait dû ce faire sur la dordogne, mais EDF en a décider autrement. Nous voiçi donc partis avec Patrick sur une riviere qui nous fait tourné la tête à chaque visite, la riviére à péage comme nous là surnomnons, qui sans ça aurait une place bien plus grande dans mon coeur, bien qu’elle en prenne un bon bout ! Nous sommes samedi matin et nous avons roulé une bonne partie de la nuit pour arriver à l’hotel de france sur les coups de 8h pour prendre possession de nos « cotos ». Notre choix ce portera sur le parcours en dessous d’Ornans, le fameux parcours no kill de Maisieres, nous réserverons le parcours de Lods pour le lendemain. Il est 9h est aprés avoir pris un bon casse croute, nous voiçi pret à défier cette Loue. Le temps est beau sans vent, l’eau basse, toujours aussi clair, mais aucune activité de la part des mouches ni des poissons est à signalé en surface, nous sommes seuls. Nous nous approchons à pas de chat prêt de la bordure et il ne fallu pas trois heures pour repérer la premiere truite de belle taille en plein courant en train de nympher. Comme nous sommes en surplomb l’attaquer est obligatoirement synonyme d’échec, nous essayons avec la plus grande discrétion et malgré un premier lancé 10m en amont de celle çi, la nymphe non plombée lui passera à 10 cm du museau et la voiçi qu’elle d’étale à toute nageoir avertissant par la même occasion les 20 m de riviere autour d’elle ! Celà s’annonce dur comme d’hab ! Patrick descendra bien en aval, moi je vais perdre 5 min à enlever ces sataner vis sur les chaussures qui font qu’elles me repere à 10 km. Je m’approche de la bordure et commence à compter les truites, partout, le plus dur est qu’il faut selectionner la plus belle et la plus proche, sur 6 M² en bordures il y a au moins 6/7 truites de 30 à 50 cm. Je me couche à terre et rampe jusqu’a etre à porter de tir de ma prochaine victime, elle est belle fait ces 40 cm est nymphe comme une folle, je bande ma canne et expédie ma nymphe (gammare) à 30 cm devant elle, elle coule jusqu’a toucher le fond, la truite ne la pas vu, j’anime et la voilà qui arrive s’approche et s’arrête pile devant …. et là….. c’est la fuite. NON je releve pas la canne et remonte délicatement la nymphe, et me retire dans le bois derriere. aller je change mon 12% par un 8% je garde cette meme mouche sur h 18 car j’y crois dur comme fer. Je me repositionne et observe leur petit manége, elles sont là, sur une pente douce aucun courant n’est à signalé, et les plus grosses chasses les plus petites, un bel ombre passe à proximité et nymphe lui aussi. je revois une belle qui d’aprés le circuit qu’elle empreinte va passer devant moi, je renvoi ma nymphe en bordure et ne perds pas d’un oeil ma chere truite, quand surgit sur le coté une plus petite qui me prends aussi sec ma nymphe…. ferrage pendu, aucune defense aller si 2/3 roulades sur elle même et elle est dans l’épuisette, content mais décu aussi car c’était pas elle que je voulais… Je laisse ce coup car il est mort pour un petit moment . Un peu plus bas une belle truite de 50 et collée sur la bordure , je suis à 6 m derriere elle je lui fait tomber ma nymphe à 20 cm elle avance, je vois le blanc de ça gueule, je ferre …… et M…E décrocher, aller changement de poste il est foutu ! Je réussirais à faire 2 belles de 40 cm guere plus dépourvu de défense comparé aux quelques ombres de 30 à 35 cm. Je rejoint Patrick qui s’affere sur une belle de 45/50 en tête de radier , dieu que c’est beau de voir le Pat attaquer ce poisson à + de 12m et lui presenter une nymphe de 18 non plombée, surtout quand on verra cette masse ce saisir de cette derniere et finir par ce décrocher ! le plus dur était fait Grrrr juste en dessous c’est un grand courant bien profond que j’attaquerais à la roulette et qui me ramenera un bel ombre de 35cm env bien difficile à négocier vu la force du courant… Nous remontons vers le haut du parcours il est 16h , nous nous arretons sur un coin ou la riviere fait 1.5m de profondeur sur les bordures avec une veine centrale de 2 m de large sur 3 m de fond. On distingue une masse qui laisse réveur, je me place pour le mieux et monte une petite bille tungstene sur h 16 de couleur blanche, je réussi à faire un poser de reve (chance) ma nymphe pique droit dans la veine et comme il est impossible de suivre cette derniere je me concentre sur cette truite, la nymphe doit etre pile à son niveau maintenant quand Patrick au même moment crit FERRE !!! Pendu, elle ce sert de son poids je la bride d’autorité car je la sent ce roulé sur le fond, je lui fait faire un demi tour et la voilà qui arrive en surface , je la ramene comme ……une vieille godasse toute mouillé, Patrick l’épuise, elle est fait ces 50cm passé largement, photos et retour à la riviere. Nous sommes content mais frustré de la pauvre défense donner. Perso une truite de cette taille prise sur la dordogne aurait donner aucune chance à mon 8% et encore moins une truite des gaves …. Enfin comparons ce qui est comparable et estimons nous heureux qu’elle est bien voulu ouvrir la bouche ! 17h la pluie fait son apparition, en remontant en haut du parcours de beau gobages d’ombres sont à signalé. Patrick ce régalera tandis que je poursuivrais la traque des truites en nav. 20h nous rentrons à l’hotel avec un bilan trés correcte en prise, mais beaucoup de décrocher sont à signalé. Un repas de premier choix nous sera servi, suite aux aperos et autre vins du pays dur sera le retour au lit surtout qu’il me reste à refaire mon BDL de A à Z. L’histoire fut interminable pour moi, pendant que mon compére s’en donner à coeur joie dans ses rêves halieutiques. Il est 2h du mat j’en ai fini, il pleut GRAVE !!! Le lendemain petit déj, on regle la douloureuse OUFFF putain l’alcool nous aura tuer dans tous les sens ! Nous decidons de revenir à Maisieres et là c’est terrible, l’eau à pris 30 cm elle est marron, c’est cuit … Nous decidons de monter sur Lods, et c’est avec plaisir que nous trouvons une riviere bien clair, en fait en dessous de Vuillafans les tributaires craches des eaux de boues. Nous attaquerons ce parcours bien plus court avec un résultat mitigé, qqes beaux ombres seront fait 2 truites pas bien grosses plus les éternelles décrocher . Il est 17 h l’envie n’y est plus, basta retour au pays, nous observerons des truites de + de 60 en quantité halucinante dans la réserve de vuillafans superbe ! Voilà pour ceux qui comptes ce rendrent sur le parcours de l’hotel de france, je pense que l’on peut le qualifié de valeur sûr en terme de densité piscicole, ensuite les faire mordrent reste surtout une question d’approche et de discrétion un peu plus qu’ailleurs … à signalé que ce parcours n’est pêchable qu’a condition de loger à l’hotel ce qui le rend relativement cher, mais le service et repas rendu à l’hotel explique aussi celà . Autre possibilité prendre les services d’un guide, en l’occurance Loic gicquel, enfin renseignez vous ! A+ stef@