C’est l’histoire de deux copains d’écoles qui se retrouvent dès qu’ils le peuvent au bord de l’eau canne à mouche en main… L’un deux ayant été enchanté par un certain meeting de moucheurs au début de cette année propose à l’autre de descendre quelques jours taquiner les ombres et autres truites de la dordogne avant de retrouver les amphis pour une nouvelle année.Et hop, aussitôt dit, aussitôt fait! Pendant 4 jours on a profité d’un superbe temps, de niveaux d’eau corrects, et les poissons ont même bien voulu venir visiter nos épuisettes.Au programme: le no-kill d’argentat que j’ai retrouvé collonisé par les herbiers et où j’ai pris la plus belle truite de ma jeune carière de moucheur : 45 cm sur une seche montée en 20 avec une pointe en 10 centième , les abords du camping du saulou: avec la tente à 2m50 de la rive de la dordogne, c’est forcément tentant!!!, le nokill des tours de merles et le nokill du doustre. On a eu la chance d’avoir 2 coups du soir assez bref mais relativement intense en face du camping où les ombres s’étaient attablés; toujours sur ce même lieu , un autre campeur a sorti à la levé du jour à 3m de la berge( malheureusement à la cuillere) un truite monstrueuse et je pèse mes mots qui a finit sa vie en dardes le midi :-(( . Si la dordogne nous a comblé, ce n’a pas été le cas de la basse maronne, non pas que je mette en doute la richesse piscicolle d e ce cours d’eau mais la faute viens de EDF qui à tenté de nous noyer en faisant monter le niveau d’eau d’un bon 50cm en pleine matinée! Enfin je signlerais la performance de mon compagnon de peche qui a quand même réussi à remplir le waders 3 fois sur la dordogne en 4 jours: merci les semelles en caoutchouc!!! Dur dur de retrouver les rives goudronnées de la seine après celles de la corrèze…Vivement le printemps prochain qu’on se refasse ça! A+ jacques.
