un kilometre sept de bonheur, ou presque …

7 avril 2006

19 - Corrèze

Doustre

Jean-Yves

Hier aprem, j’abandonne mon chantier, il fait trop beau le platre attendra demain et le mauvais temps. Le temps de passer par argentat, je me retrouve sur les bords de ce nouveau nokill corrézien cru 2006. Un joli parcours sur les bords du doustre d’un kilometres 700 à saint bazile la roche ce qui commence a être sympatique au niveau longeur. Il est donc 15 h j’aborde ce grand lisse. deux courants distincts lèchent les berges sous l’action d’un haut fond. Que de caches, dans les racines sous les souches. En remontant le cours d’eau j’ai la chance d’apercevoir quelques poissons en poste. jolie truites sauvages qui ondulent sous les arbres en train de ce réveiller d’un hiver rigoureux qui ne nous a pas encore pleinement abandonné. Je rentre dans l’eau pour traverser le parcours au deux tiers, en ligne de mire l’église d’un coté un pré de l’autre. Je prend le temps de monter ma ligne dans l’eau tout en observant ces bordures à l’affut d’un gobage. mais rien ne ce passe, peu d’insecte se manisfeste. je choisi la nymphe au bouchon avec une sèchepremier lancé, je pose mon ensemble de mouche au ras d’une souche . et la premier gobages !! mais pas sur ma mouche. j’attends, en me disant que j’ai du réver. je relance et a nouveau un gobage ce produit a une dizaine de centimetre de ma mouche. QUand le phénomène ce reproduit pour la troisième fois, je fini par me dire que c’est un signe. La technique n’est pas adapté passage en sèche. Un sedge gris pris au hasard sur mon accroche mouche fera bien l’affaire pour imiter ces plécos qui s’envolent de temps a autre. effectivement, une fois le geste dérouillé, je parviens a poser mon imitation dans la veine d’eau qui la conduira droit au but. La truite bondit dessus, ne faisant aucune manière de mon 16 % je prend deux autres poissons ainsi, puis arrivant dans une secteur plus courant. je choisit un changement de mouche. En ce moment je prépare un voyage, vers des contré lointaine ou les truites sont grandes et belles comme ca… c’est donc l’occasion révée pour tester quelques modèles à flotaison trés haute. mais également à me réhabituer a lancer et poser correctement ces grosses mouches. Ce n’est pas évident de pêcher en sèche avec des modèles imposant. Bref je prend mon pied, remonte le cours d’eau il est 18 h j’arrive au bout du parcour, je nage dans le bonheur 9 poissons pris en sèche dans un ruisseau qui en début de semaine était quasiment dans les prés. je suis heureux et la recette est simple: La belle saison, les fleurs les oiseaux sifflent, leur belles a tue tête, du soleil, des mouches, un parcours nokill dans un cadre enchanté. Je prend donc le chemin du retour la bannane au lèvre. Je traverse le prés en suivant un sentier quand une joncquille attire mon oeil. superbe vue de ce jaune pimpant qui tranche sur un vert moelleux ! Malheureusement comme dans tous paradis il faut un HIC. Derrière la fleur j’apercois dans le lit de la rivière un pêcheur lui aussi il m’a vu, mais son attitude n’est pas celle commune a tous les amoureux du nokill. il se tapis derrière un paquet de ronce puis se met en retrait sous le pont. ET la ca fait tilt ce mec est pas net. je poursuit mon chemin tranquillement comme si de rien n’était puis je me met en station d’attente sur le pont ( suspect deux mêtres sous mes pieds. Je ne le vois pas, et visiblement il attend que je repasse de l’autre coté continuant mon chemin. AU bout de quelques minutes il sort. Quelle n’est pas ma surprise, habillé comme le parfait petit moucheur, du scierra de la tête au pied à un détails près, le machin vert dans son dos qu’il porte à la ceinture. Je n’avais pas affaire à un pecheur mais plutot à un cormoran un vrai. Le type ne pêche pas je ne peu rien lui dire. Pas un mot je l’observe, il remonte la rivière vres l’amont abandonnant ce joli plat. Je prend le chemin de mon véhicule en faisant le pari qu’il aura fait demi tour et sera revenu en poste et bingo. 15 minutes plus tard il est de retour, sur les bords du plats assis a attendre les gobages. je lui rend une visite sympatique pour lui signaler qu’il n’a rien a faire la avec son panier et que depuis un bon kilometre il y a des panneau parcours de graciation tout les 20 mêtres… il devient agressif, me dit qu’il ne pêche pas et qu’il fait ce qu’il veut. « et puis au fait vous êtes qui vous ? » changement de couleur a l’apparition de ma commission de garde. Je lui assure que je ne le laisserais pas pecher dans ce parcours envol du cormoran qui passe un coup de fil pour qu’on viennent le récupérer. Car un cormoran ne gare jamais sa voiture il ce fait déposer. Bref allez profiter de ce parcours nokill il est plein de poissons et la présence de pecheurs protège des cormorans c’est bien connu. La meilleure façon de protéger les poissons de ces parcours c’est d’y être présent dessus.

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