10 ans ont passé depuis ma dernière ouverture sur les Gaves. Le folklore est toujours bien ancré, mais les Olives et autres March Brown ont la délicatesse d’attendre l’heure du repli stratégique « de la horde sauvage » vers les paniers chargés de victuailles et autres spiritueux, avant d’émerger. Le champs est libre, le calme est revenu et les belles se mettent à table. Je suis rassuré, les gaves renferment toujours ces joyaux aux dimensions « montanesques » qui méritent notre plus grand respect. http://www.nicolascarles.com/