Bonjour à tous Hier j’ai, avec deux copains Raynald et Henri, découvert les charmes du Domaine de Coyolles. C’était bien, c’était même très bien. On a loupé le très,très,très bien d’un rien ; le climat. Bourrasques, averses glacées une grande partie de l’après-midi ne sont quand même pas arrivées à nous gâcher le souvenir de cette découverte. Accueil (ne rougissez pas Céline) : Charmant. Le cadre : La route pour accéder au site dégringole en lacets, de la haut on a vue sur le domaine. Ce sera très verdoyant quant enfin le printemps aura fini son œuvre et c’est très calme. La route du Moulin sépare en 2 parties égales le domaine. En haut une rivière et le lac principal surplombent de 3 m environ le reste du parcours. L’eau est claire on voit facilement le fond et les poissons, mais situé au milieu de tourbières elle est un peu « thé » (ou whisky), (je préfère) Le bas est constitué d’un petit lac et de plusieurs bras reliés entre eux. L’ensemble est assez grand, je n’ai pas eu le temps de pêcher partout mais je suis lent. Le Moulin : Vielle battisse parfaitement rénovée, on y mange, bien à un prix très raisonnable, sur une grande table templier le dos à la cheminée feu de bois (ça fait du bien), commodités (modernes) à l’étage, la maison reste ouverte toute la journée. La pêche : Ces eaux sont très riches sûrement car malgré ce temps nous avons pu assister à de belles éclosions d’éphémères tout le long de la journée. Plus tard vers le 18 h se sont de minuscules chiros ( ?) qui ont pris le relais, bref, on n’a pas chômé. Personnellement j’ai abandonné assez rapidement la nymphe pour des chiros émergents (genre shuttle coq, suspenders et buzzers bien graissés). J’ai pris le 4/5e de mes poissons* ainsi. Pour le 5e restant c’était en soirée en NAV à l’arbalète dans un petit bras. Je laisse le soin à Henri et Raynald de vous parler de leurs ressentis mais je crois pouvoir dire qu’ils se sont bien amusés aussi. Les poissons : Truites arc en ciel, farios peuplent l’endroit. Vous connaissez Vincent Carré (Domaine de la Salamandre) et le soin qu’il leur porte. La population est variée en taille. Le plus petit que j’ai pris faisait (env) 35 mais la moyenne se situe (pour moi) à 45. Les spécimens de 60 et plus sont assez nombreux mais là on rentre dans la spécialité d’Henri… et n’en dirai pas plus. (chuttt… cette fois ci il n’a pas cassé son épuisette). On y retourneras (faute volontaire) ** Bien amicalement à tous PH.B.
