De retour du vieux rhône que nous avons visité pendant deux jours avec vincent. Il n’y a pas photo quand deux chats noirs partent en vadrouille le temps ne passe pas au beau fixe. Bilan arrivé dimanche dans l’aprés midi juste au bon moment pour prendre la rincée de l’année, des trombes d’eau nous tombent dessus, pas un gobage. Sur le courant en amont de la grande et fameuse gravière d’étain j’aurai juste le plaisir d’une grosse touche en noyée. Lundi aprés un réveil douloureux nous partons en direction de la rivière au canoé en aval des gorges de la Balme, pour jeter un oeil. Surprise, la couleur de l’eau a changé du bleu trés clair de la veille elle est passée à un jaune tirant sur l’ocre … On décide donc de remonter jusqu’a Marnix, qui peut nous offrir le plaisir de pêcher les ombres sur une spendide gravière. Nous attendrons jusqu’à 15 h sans voir le moindre rond abordable. du coup nous partons en direction du pont de Lucey, Vincent essaye de faire monter un poisson qui gobe prés du bord, puis le néglige. Il a eu tort car c’est le seul ombre que nous aurons vu gober sur le séjour, il s’est laisser tenter facilement sur plusieurs de mes modèles car je me suis offert le luxe de le rater à 3 reprises engourdi par le froid du jour. je dis bien raté car à chaque fois il a bien pris la mouche :o) Ce matin au regard des conditions météos désatreuses annoncées dans nos régions d’origine nous reprenons la route sans aller saluer le rhône de peur de tomber dans la tentation d’y tremper nos mouches pour la dernière fois en 2003 ! Avant de partir nous décidons quand même d’aller visiter la pisciculture fédérale de Chazey-Bons, qui est une des rares à produire des ombres. Rencontre et visite fort intéressantes, qui donne un petit plus à notre voyage pêche bien calme. PS: on a trouvé du Gamay « huitième grive » sur notre route j’en porterai deux bouteilles lors de la rencontre de la grande prade, ça permettra à ceux qui seront là de partager une partie de notre voyage halieutique ;o)
